ça faisait un bout de temps que j'avais envie de le faire. Partir un matin. Vers la mer.
C'était plus difficile avant de se décider, car mon ancienne voiture était une essenceolique. Et plus d'un plein pour faire à peine 500 km aller-retour, ça fait plutôt mal au cul. Maintenant le problème ne se pose plus.
Nous sommes partis dimanche dernier. Cinq motivés à se lever à l'aube pour profiter de la plage. La route déserte, à part quelques connards qui s'ennuient et qui décident de zigzaguer autour de nous pendant quelques kilomètres.
C'était plus difficile avant de se décider, car mon ancienne voiture était une essenceolique. Et plus d'un plein pour faire à peine 500 km aller-retour, ça fait plutôt mal au cul. Maintenant le problème ne se pose plus.
Nous sommes partis dimanche dernier. Cinq motivés à se lever à l'aube pour profiter de la plage. La route déserte, à part quelques connards qui s'ennuient et qui décident de zigzaguer autour de nous pendant quelques kilomètres.
Deauville. Une belle découverte. Un peu chicos, mais tellement belle. Les manoirs du bord de mer sont sublimes. Je n'avais jamais rien vu de tel. Un peu ancien, avec une architecture que je n'imaginais pas dans cette région. Qui m'est totalement inconnue (à part le Mont Saint Michel).
Une plage déserte, du vent, un peu de soleil et beaucoup de nuages. Une baignade dans une eau pas si froide. Ma première de l'année.
Un pic-nic et des rires. Un peu de bronzette. Assez pour se retrouver toute rougie dans le miroir de l'aire d'autoroute au retour.
Une glace chez Amorino. Un délice qui me rappelle se fabuleux week-end à Nantes à Blanche. Je n'y peux rien, cette enseigne m'y fait toujours penser.
Un petit tour dans une ville un peu trop cher. La tête du passant quand une de mes amies a dit devant l'agence immobilière: "Aurélie, il y a un petit manoir pour toi là !"
Â
Un avant goût de vacances.