Je ne cesse de me répéter cette question: "Qu'est-ce que je fou là ?"
Je me sens vraiment nulle. Incapable de réussir un foutu partiel. Incapable de danser. Incapable de monter correctement à cheval. Jeudi soir, alors que nous étions partis manger "un chinois" (Jamais compris pourquoi on ne dit jamais "au restaurant tel ou tel", mais toujours "un chinois", "un indien", "un japonais"... Nous ne sommes pas encore cannibales à ce que je sache?), et il m'a demandé pourquoi j'étais si stressé en ce moment. C'est vrai que ça faisait longtemps que je ne m'étais pas sentie autant sur les nerfs. Le trucs c'est que j'ai l'impression de me retrouver il y a 4-5 ans en arrière, en tant que cancre de la classe et neuneu notoire. Je me suis rendue compte que les deux dernières années on été plutôt bonnes, même si je ne me suis jamais fait remarquer par un quelconque "don", j'avais des bonnes notes à l'école, et je me sentais à l'aise en BTS, s'en était même trop facile parfois. Mais deux ans de pseudo-succès s'en était trop. Et me voilà aujourd'hui une nouvelle fois dans mon élément de prédilection: l'échec et la médiocrité. Baisse de moral compréhensible, mais c'est pas grave encore deux ans et demi à passer pour une idiote, je devrais y survivre, ça ne sera qu'un remake du lycée.
Cette année sera placé sous le cygne du signe (cygne/signe MOUHAHA -_-' pardon), après un petit tour à l'opéra de Paris début Janvier, pour le Lac des Cygnes, voilà que sort le film tant attendu mercredi, Black Swan, avec la magnifique Natalie Portman, et à peine deux semaines après on va tenter de crever les planches au Théâtre de Ménilmontant avec notre valse de l'Acte 1, du ballet nommé précédemment.
Je suis impatiente, je suis stressée, si seulement je pouvais réussir quelque chose pour 2011 ça serait sympa...
La choré est belle et bien terminée cette fois. Mais sur pointe c'est autre chose. J'ai pourtant réussi à les casser et ma semelle est ainsi un peu assouplie, mais je ne suis pas à l'aise. Au bout d'un moment, ma cheville et mes jambes faiblissent et je ne fais que de risquer de me tordre les chevilles ou de tomber. J'essaye, mais je manque de grâce, c'est chiant. Je me concentre, me regarde dans le miroir et ne voit qu'un balai ridicule, gesticulant, coiffé d'une perruque blonde.
Je me sens vraiment nulle. Incapable de réussir un foutu partiel. Incapable de danser. Incapable de monter correctement à cheval. Jeudi soir, alors que nous étions partis manger "un chinois" (Jamais compris pourquoi on ne dit jamais "au restaurant tel ou tel", mais toujours "un chinois", "un indien", "un japonais"... Nous ne sommes pas encore cannibales à ce que je sache?), et il m'a demandé pourquoi j'étais si stressé en ce moment. C'est vrai que ça faisait longtemps que je ne m'étais pas sentie autant sur les nerfs. Le trucs c'est que j'ai l'impression de me retrouver il y a 4-5 ans en arrière, en tant que cancre de la classe et neuneu notoire. Je me suis rendue compte que les deux dernières années on été plutôt bonnes, même si je ne me suis jamais fait remarquer par un quelconque "don", j'avais des bonnes notes à l'école, et je me sentais à l'aise en BTS, s'en était même trop facile parfois. Mais deux ans de pseudo-succès s'en était trop. Et me voilà aujourd'hui une nouvelle fois dans mon élément de prédilection: l'échec et la médiocrité. Baisse de moral compréhensible, mais c'est pas grave encore deux ans et demi à passer pour une idiote, je devrais y survivre, ça ne sera qu'un remake du lycée.
Cette année sera placé sous le cygne du signe (cygne/signe MOUHAHA -_-' pardon), après un petit tour à l'opéra de Paris début Janvier, pour le Lac des Cygnes, voilà que sort le film tant attendu mercredi, Black Swan, avec la magnifique Natalie Portman, et à peine deux semaines après on va tenter de crever les planches au Théâtre de Ménilmontant avec notre valse de l'Acte 1, du ballet nommé précédemment.
Je suis impatiente, je suis stressée, si seulement je pouvais réussir quelque chose pour 2011 ça serait sympa...
La choré est belle et bien terminée cette fois. Mais sur pointe c'est autre chose. J'ai pourtant réussi à les casser et ma semelle est ainsi un peu assouplie, mais je ne suis pas à l'aise. Au bout d'un moment, ma cheville et mes jambes faiblissent et je ne fais que de risquer de me tordre les chevilles ou de tomber. J'essaye, mais je manque de grâce, c'est chiant. Je me concentre, me regarde dans le miroir et ne voit qu'un balai ridicule, gesticulant, coiffé d'une perruque blonde.
Et la danse est un bon dérivatif.
Il ne faut pas être ainsi pessimiste !